Heureusement, malgré notre arrivée aux petites heures du matin, on sait où l’on va. On se fait quand même duper par le chauffeur de taxi qui nous indique un prix trop élevé et en plus, a notre arrive, n'a pas la monnaie à nous rendre….
Mais au réveil, Cuzco nous accueille sous une toute nouvelle lumière ! Petit déjeuner sur le balcon de l’Hôtel San Cristobal avec une vue imprenable sur la Plaza de Armas, superbe place bordée de jolis balcons coloniaux, une splendide cathédrale et église… La Rome du Pérou nous émerveille au premier regard.
La promenade dans les petites ruelles pentues de notre quartier est très agréable… de nombreux restaurants et charmantes boutiques artisanales nous accueillent sur des chemins pavés. Ici, la nourriture est variée et le décor des restaurants est travaillé. Ici, on oubli vite que l’on est dans une grande ville… l’ambiance est plutôt détendue, les rues impeccables.
Le seul bemol, quand nous passons sous les arcades, Plaza de Armas, on ne peut pas faire deux mètres sans que quelqu’un nous sollicite pour nous vendre quelque chose… massages, cigarettes, bonbons, lunettes de soleil (volées), portables, peintures et bijoux …. Mais c’est la seule partie de la ville ou le touriste est harcelé –et le charme de la place mérite tout de même la visite!
Et pour excuser les vendeurs d’objets artisanaux et peintures qui vous arrêtent dans la rue, ceux-ci n’ont pas d’autre endroit pour présenter leurs œuvres – les lieux d’exposition sont très chers et très compétitifs.
Les Espagnols ont construit leurs chefs d’œuvres coloniaux sur d’impressionnants vestiges de l’empire Inca dont on en voit encore les traces. Les noms de rues sont écrit en Quechua (langue des Incas), et en Espagnol.
Hormis nombreuses visites de musées, spectacles et églises, une petit tour au marché permet de voir un autre aspect de Cuzco- peut être moins poli que les façades de la ville, mais, justement, plein de vie et de trésors… Nombreux petits kiosques présentent, des vêtements, tentures, antiques, épices, arômes, fruits, légumes, fromages… Des chiens se balades entre les stands pour essayer des récupérer miettes. Un joyeux vacarme d’enfants qui jouent, de vendeurs qui attirent l’attention des passants, d’acheteurs qui cherchent leur bonheur et qui essayent de faire baisser le prix d’un chapeau ou une tenture rempli la salle.
Nicolas vous recommande vivement d’y manger – pour deux sols, on a droit à un copieux festin et bien sur une ambiance unique !
Les Espagnols ont construit leurs chefs d’œuvres coloniaux sur d’impressionnants vestiges de l’empire Inca dont on en voit encore les traces. Les noms de rues sont écrit en Quechua (langue des Incas), et en Espagnol.
Hormis nombreuses visites de musées, spectacles et églises, une petit tour au marché permet de voir un autre aspect de Cuzco- peut être moins poli que les façades de la ville, mais, justement, plein de vie et de trésors… Nombreux petits kiosques présentent, des vêtements, tentures, antiques, épices, arômes, fruits, légumes, fromages… Des chiens se balades entre les stands pour essayer des récupérer miettes. Un joyeux vacarme d’enfants qui jouent, de vendeurs qui attirent l’attention des passants, d’acheteurs qui cherchent leur bonheur et qui essayent de faire baisser le prix d’un chapeau ou une tenture rempli la salle.
Nicolas vous recommande vivement d’y manger – pour deux sols, on a droit à un copieux festin et bien sur une ambiance unique !
Cuzco est egalement une ville animée la nuit, et on trouve facilement de tres bons petits restos (prix tres raisonnables) a l'ambiance tres sympa et la nourriture copieuse, pain a l'ail en apero.
Un autre trésor… les nombreux marchés artisanaux…. Géraldine qui n’est pourtant pas une accros du shopping se laisse tenter. Nous sommes tous deux impressionnés par la qualité, les couleurs, les motifs des sacs, peintures, bijoux, vêtements et tentures… on se dit que sa ferait fureur en France et on décide d’investiguer le marche !
On sympathise vite avec différents artisans du coin, qui nous amènent jusque dans leur atelier. D’abord l’atelier on l’on travaille l’argent pour y incruster des perles, et pierre colorées.
Ensuite l’atelier des sacs en cuirs.
On tombe aussi sur trois sœurs qui fabriquent de pulls en Alpaca… On est vite impressionnés par leur savoir faire… elles veillent sur la qualité de leur produit jusqu’au plus petit détail… pas un fil qui dépasse, des couture bien terminées, des coupes flatteuses… et elles parlent couramment le Français… elle nous mette en garde aussi sur les vendeurs de vêtements soit disant 100 pourcent alpaca et nous montrent la différence entre le vrai et le faux !
Si vous voulez de très beaux pulls… faites nous la commande… on a pris leur contacts.
Alors que nous nous baladions un soir, justement en recherche d’un instrument pour nous accompagner durant notre voyage, un jeune au chapeau de plume nous approche en pleine rue pour nous vendre son instrument … un charango, toute petite guitare, légère et facile a porter – on en a déjà vu en Bolivie… Il en fabrique un toutes les deux semaines, nous dit il, celui-ci vient d’être terminé… bel instrument... et il nous joue quelques jolies serenades…
Nous sommes tentés, mais, il y un détail qui nous retient … ni l’un ni l’autre joue le charango…
Pas de problème, nous dit Francisco, je vous donne, gratuitement, des leçons de charango jusqu'à votre départ… Apres le coup du taxi qui nous a dupe, on est réticents, mais on lui donne le bénéfice doute… Rendez vous 19 heure, demain… sur la place.
Géraldine est au lit toute la journée avec vomissements et coliques, c’est donc Nicolas qui attend tout seul sur la place des Armes… Les minutes passent sans signe de Francisco… mais, quand Nicolas commence à douter, le jeune au chapeau de plume apparaît pour la leçon.
A l’occasion, Francisco nous invite aussi chez lui pour voir l’atelier ou il construit les guitares. Orphelins très jeunes, Francisco et ses frères et sœur on du se battre ensemble pour s’en sortir – ils ont choisi la musique. Ensembles, ils forment un groupe de musique Andine reconnu et fabriquent de nombreux instruments traditionnels… flutes de pan, charangos etc... L’atelier est impressionnant : certains charangos sont ornés avec des sculptures impressionantes. Francisco nous montre comment il fabrique ces instruments. Son frère se joint a nous pour nous jouer quelques jolis morceaux.
La famille habite sur les hauteurs de Cuzco. Le quartier est loin d’être aisé, mais la vue sur les montagnes et forêts environnantes est surprenante – on a l’impression d´être sortis de la ville. Ici, il y a une chambre dispo pour les touristes qui souhaite y rester : le voyageur donne ce qu’il veut a la famille en échange du logement. D’ailleurs, ils nous font dire à nos amis qu’ils sont les bienvenus…
C’est notre dernière nuit à Cuzco avant de partir au Machu Pichu.
La compagnie ferroviaire qui part de Cuzco a Aguas Calientes, la ville de départ pour visiter les fameuses ruines Incas appartient a une compagnie Chilienne, et les prix sont exorbitants…. Nous décidons donc de prendre le train plus loin, a Oulantaytambo, ou se trouvent les impressionnantes ruines d’une forteresse Inca. Ici, un jeune Inca amoureux d’une fille de noblesse Inca s’est battu avec courage contre une armée pour gagner le droit d’accéder a son amour interdit. C’est un charmant village avec de nombreux habitants en tenues traditionnelles. Sur la place, on se fait vite copains avec deux artistes de l’école de Cuzco ; ils peignent de fabuleux portraits d’enfants et femmes indigènes et de jolis paysages. On choisi quelques oeuvres a acheter plus tard (sinon le transport est difficile sans abimer les peinture). Avant d'attraper notre train, on partage un repas dans leur restaurant favori et on echange vite les mails.
Le train est impeccable et les paysages magnifiques....
1 commentaire:
coucou les enfants je constate que tout va bien , finalement avez vous pris des cours et acheté votre instrument de musique .nous pensons très fort à vous et vous embrassons très affactueusement. papi et maïthé
Enregistrer un commentaire